Si j’ai choisi la psychologie, c’est parce que j’ai toujours été touché par cette question : comment, malgré les épreuves, certaines personnes trouvent-elles la force d’avancer ?
C’est ainsi que je me suis formé à l’Université Libre de Bruxelles, où j’ai obtenu mon diplôme de psychologue clinicien.

Mais très vite, j’ai ressenti que je voulais aller plus loin que l’écoute et la compréhension : je voulais offrir des repères concrets, des outils qui aident vraiment à transformer le quotidien. C’est ce qui m’a conduit à entreprendre un troisième cycle universitaire pour devenir psychothérapeute en thérapies cognitivo-comportementales (TCC).

Au fil de ma pratique, je me suis de plus en plus intéressé aux cicatrices invisibles laissées par les traumatismes. Comprendre comment elles marquent la mémoire, le corps, la vie… et surtout, comment il est possible de les apaiser. C’est dans cette quête que je me suis tourné vers l’EMDR, une approche qui permet d’alléger le poids des souvenirs, et vers l’imagerie mentale, qui ouvre un espace intérieur où l’on peut transformer ses représentations, retrouver des ressources et parfois même réinventer son histoire.

Mon parcours est donc né d’une conviction simple : même après les tempêtes, il existe toujours un chemin vers plus de paix et de liberté intérieure. C’est cette conviction qui guide mon travail aujourd’hui, auprès de chaque personne que j’accompagne.